Chirurgie des cancers
Gastrectomie
La gastrectomie est une procédure chirurgicale utilisée pour traiter plusieurs pathologie, notamment le retrait de tumeur bénigne ou maligne de l’estomac.
Elle consiste en l’ablation d’une partie ou de la totalité de l’estomac en fonction de la localisation et de l’étendue de la tumeur.
On retrouve :
– la gastrectomie totale : il s’agit de l’ablation de la totalité de l’estomac, ainsi que des ganglions lymphatiques de drainage. Cette procédure est généralement utilisée lorsque le cancer est situé dans la partie supérieure de l’estomac.
– la gastrectomie subtotale ou partielle : lors de cette intervention, le chirurgien retire de la partie de l’estomac contenant la tumeur, ainsi que des ganglions lymphatiques environnants. On conserve donc une partie de l’estomac, souvent la partie supérieure.
Le rétablissement de la continuité digestive est le plus souvent réalisé par une suture (anastomose) entre l’oesophage (ou l’estomac restant) et l’intestin grèle (petit intestin).
Cela peut entraîner des changements importants dans la façon dont les patients mangent et digèrent leur nourriture, notamment la nécessité de fractionner les repas.
La gastrectomie est une intervention chirurgicale majeure qui comporte des risques, notamment de fistule (fuite des sutures), d’infection postopératoire, d’hémorragie et de pneumopathie.
Le rétablissement complet après la chirurgie peut prendre plusieurs semaines, et les patients peuvent avoir besoin de suivre un régime alimentaire spécialisé pour aider à leur récupération, avec une supplémentation en certaines vitamines, notamment la vitamine B12 qui est moins absorbée par l’organisme après une gastrectomie.
Elle consiste en l’ablation d’une partie ou de la totalité de l’estomac en fonction de la localisation et de l’étendue de la tumeur.
On retrouve :
– la gastrectomie totale : il s’agit de l’ablation de la totalité de l’estomac, ainsi que des ganglions lymphatiques de drainage. Cette procédure est généralement utilisée lorsque le cancer est situé dans la partie supérieure de l’estomac.
– la gastrectomie subtotale ou partielle : lors de cette intervention, le chirurgien retire de la partie de l’estomac contenant la tumeur, ainsi que des ganglions lymphatiques environnants. On conserve donc une partie de l’estomac, souvent la partie supérieure.
Le rétablissement de la continuité digestive est le plus souvent réalisé par une suture (anastomose) entre l’oesophage (ou l’estomac restant) et l’intestin grèle (petit intestin).
Cela peut entraîner des changements importants dans la façon dont les patients mangent et digèrent leur nourriture, notamment la nécessité de fractionner les repas.
La gastrectomie est une intervention chirurgicale majeure qui comporte des risques, notamment de fistule (fuite des sutures), d’infection postopératoire, d’hémorragie et de pneumopathie.
Le rétablissement complet après la chirurgie peut prendre plusieurs semaines, et les patients peuvent avoir besoin de suivre un régime alimentaire spécialisé pour aider à leur récupération, avec une supplémentation en certaines vitamines, notamment la vitamine B12 qui est moins absorbée par l’organisme après une gastrectomie.
Pancréatectomie
La pancréatectomie est une intervention chirurgicale permettant l’ablation d’une partie ou la totalité du pancréas.
Le pancréas est un organe situé dans l’abdomen, en arrière de l’estomac, et participant à la digestion et à la régulation de la glycémie (risque de diabète en cas de pancréas non fonctionnel).
La pancréatectomie peut être réalisée par chirurgie ouverte (laparotomie) ou par chirurgie laparoscopique. La laparoscopie est une procédure moins invasive qui utilise de petites incisions pour introduction d’une caméra.
On retrouve plusieurs type de pancréatectomie :
Le pancréas est un organe situé dans l’abdomen, en arrière de l’estomac, et participant à la digestion et à la régulation de la glycémie (risque de diabète en cas de pancréas non fonctionnel).
La pancréatectomie peut être réalisée par chirurgie ouverte (laparotomie) ou par chirurgie laparoscopique. La laparoscopie est une procédure moins invasive qui utilise de petites incisions pour introduction d’une caméra.
On retrouve plusieurs type de pancréatectomie :
La duodéno-pancréatectomie
céphalique
céphalique
Également connue sous le nom de procédure de Whipple, est une intervention chirurgicale complexe réalisée pour traiter certaines affections du pancréas, telles que
le cancer du pancréas, les tumeurs ampullaires ou les lésions duodénales étendues. Elle implique l’ablation d’une partie du pancréas, du duodénum , de la vésicule biliaire et de la partie inférieure de l’estomac.
La duodéno-pancréatectomie céphalique est une intervention chirurgicale majeure qui présente des risques de complications, tels que :
– les fistules anastomotiques (mauvaise cicatrisation des sutures),
– les infections,
– les saignements et troubles digestifs post-opératoires.
La période de récupération peut être longue et nécessite souvent un suivi médical étroit, avec souvent nécessité de prendre un traitement de complément par enzymes pancréatiques.
La duodéno-pancréatectomie céphalique est une intervention chirurgicale majeure qui présente des risques de complications, tels que :
– les fistules anastomotiques (mauvaise cicatrisation des sutures),
– les infections,
– les saignements et troubles digestifs post-opératoires.
La période de récupération peut être longue et nécessite souvent un suivi médical étroit, avec souvent nécessité de prendre un traitement de complément par enzymes pancréatiques.
La duodéno-pancréatectomie céphalique
Également connue sous le nom de procédure de Whipple, est une intervention chirurgicale complexe réalisée pour traiter certaines affections du pancréas, telles que
le cancer du pancréas, les tumeurs ampullaires ou les lésions duodénales étendues. Elle implique l’ablation d’une partie du pancréas, du duodénum , de la vésicule biliaire et de la partie inférieure de l’estomac.
La duodéno-pancréatectomie céphalique est une intervention chirurgicale majeure qui présente des risques de complications, tels que :
– les fistules anastomotiques (mauvaise cicatrisation des sutures),
– les infections,
– les saignements et troubles digestifs post-opératoires.
La période de récupération peut être longue et nécessite souvent un suivi médical étroit, avec souvent nécessité de prendre un traitement de complément par enzymes pancréatiques.
La duodéno-pancréatectomie céphalique est une intervention chirurgicale majeure qui présente des risques de complications, tels que :
– les fistules anastomotiques (mauvaise cicatrisation des sutures),
– les infections,
– les saignements et troubles digestifs post-opératoires.
La période de récupération peut être longue et nécessite souvent un suivi médical étroit, avec souvent nécessité de prendre un traitement de complément par enzymes pancréatiques.
La splénopancréatectomie gauche
La splénopancréatectomie gauche est une intervention chirurgicale au cours de laquelle la rate et une partie du pancréas sont retirées.
Cette procédure est généralement réalisée pour traiter les tumeurs du pancréas situées dans la partie gauche de cet organe, ainsi que certaines affections de la rate.
La splénopancréatectomie gauche est une procédure complexe qui nécessite une expertise chirurgicale spécialisée.
Les complications sont principalement :
– les infections,
– les saignements,
– les fistules pancréatiques,
– les troubles digestifs et la diminution de la fonction immunitaire due à l’ablation de la rate.
Une vaccination contre les bactéries encapsulées (pneumocoques, méningocoques …) est réalisée plusieurs jours avant l’intervention.
La période de récupération après une splénopancréatectomie gauche peut varier en fonction de l’étendue de la chirurgie, mais elle peut nécessiter une hospitalisation prolongée et une surveillance étroite. Les patients peuvent également avoir besoin de soins de suivi pour gérer les conséquences de l’ablation de la rate, tels que la prévention des infections avec une antibiothérapie au long cours.
Cette procédure est généralement réalisée pour traiter les tumeurs du pancréas situées dans la partie gauche de cet organe, ainsi que certaines affections de la rate.
La splénopancréatectomie gauche est une procédure complexe qui nécessite une expertise chirurgicale spécialisée.
Les complications sont principalement :
– les infections,
– les saignements,
– les fistules pancréatiques,
– les troubles digestifs et la diminution de la fonction immunitaire due à l’ablation de la rate.
Une vaccination contre les bactéries encapsulées (pneumocoques, méningocoques …) est réalisée plusieurs jours avant l’intervention.
La période de récupération après une splénopancréatectomie gauche peut varier en fonction de l’étendue de la chirurgie, mais elle peut nécessiter une hospitalisation prolongée et une surveillance étroite. Les patients peuvent également avoir besoin de soins de suivi pour gérer les conséquences de l’ablation de la rate, tels que la prévention des infections avec une antibiothérapie au long cours.
La pancréatectomie totale
Dans la pancréatectomie totale, la totalité du pancréas est retirée.
Cela peut être nécessaire dans certains cas de cancers étendus du pancréas ou de maladies graves du pancréas, comme la pancréatite chronique.
Cette intervention associe souvent les carastéristiques de la duodéno-pancréatectomie céphalique et de la splénopancréatectomie gauche.
Après une pancréatectomie, les patients peuvent rencontrer certains effets secondaires ou complications, notamment :
– la malabsorption des graisses et des nutriments,
– une glycémie instable,
– une digestion altérée,
– une perte de poids et des troubles digestifs.
Dans certains cas, des traitements supplémentaires, tels que des enzymes pancréatiques ou de l’insuline, peuvent être nécessaires.
Cela peut être nécessaire dans certains cas de cancers étendus du pancréas ou de maladies graves du pancréas, comme la pancréatite chronique.
Cette intervention associe souvent les carastéristiques de la duodéno-pancréatectomie céphalique et de la splénopancréatectomie gauche.
Après une pancréatectomie, les patients peuvent rencontrer certains effets secondaires ou complications, notamment :
– la malabsorption des graisses et des nutriments,
– une glycémie instable,
– une digestion altérée,
– une perte de poids et des troubles digestifs.
Dans certains cas, des traitements supplémentaires, tels que des enzymes pancréatiques ou de l’insuline, peuvent être nécessaires.
Colectomie
La colectomie est une intervention chirurgicale qui consiste à retirer une partie ou la totalité du côlon (autrement appelé gros intestin).
La colectomie peut être partielle (ou segmentaire) où seule une partie du côlon est retirée, ou totale.
Une colectomie peut être indiquée dans la prise en charge d’un cancer colique, l’intervention étant alors décidée en réunion de concertation pluridisciplinaire, associant oncologues, gastroentérologues, radiologues et chirurgiens.
Le chirurgien retire également les ganglions lymphatiques environnants pour être analysés afin de déterminer si le cancer s’est propagé.
La colectomie peut être réalisée par laparoscopie (vidéochirurgie) ou laparotomie (chirurgie ouverte), selon les antécédents chirurgicaux, la taille de la résection, la morphologie. La récupération après une colectomie varie selon le type d’opération et l’état général du patient, et est souvent plus rapide en cas de coelioscopie.
Dans certains cas, une stomie (orifice sur la peau pour évacuer les selles), appelé parfois poche ou anus artificiel, peut être nécessaire, temporairement ou définitivement.
La colectomie peut être partielle (ou segmentaire) où seule une partie du côlon est retirée, ou totale.
Une colectomie peut être indiquée dans la prise en charge d’un cancer colique, l’intervention étant alors décidée en réunion de concertation pluridisciplinaire, associant oncologues, gastroentérologues, radiologues et chirurgiens.
Le chirurgien retire également les ganglions lymphatiques environnants pour être analysés afin de déterminer si le cancer s’est propagé.
La colectomie peut être réalisée par laparoscopie (vidéochirurgie) ou laparotomie (chirurgie ouverte), selon les antécédents chirurgicaux, la taille de la résection, la morphologie. La récupération après une colectomie varie selon le type d’opération et l’état général du patient, et est souvent plus rapide en cas de coelioscopie.
Dans certains cas, une stomie (orifice sur la peau pour évacuer les selles), appelé parfois poche ou anus artificiel, peut être nécessaire, temporairement ou définitivement.
Clinique Ambroise Paré
387, Route de Saint-Simon
31100 Toulouse
05 61 50 16 33
387, Route de Saint-Simon
31100 Toulouse
05 61 50 16 33
Clinique Rive Gauche
49, Allées Charles de Fitte
31300 Toulouse
05 61 77 33 12
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